Les Sons de la Nature des
Trois Continents Afrique Asie Europe

Les trois musiciens professionnels réunissent les cultures musicales des trois continents dans un mélange unique. Avec des cors des Alpes et des cors naturels (Franz Schüssele, D), des chants diphoniques et du violon à cheval (Epi, Enkhajargal Dandarvaanchig, MNG), des percussions et de la harpe africaine (Pape Dieye, SEN), ils créent un cosmos sonore qui emmène le public dans des mondes sonores inouïs.

Epi - Enkhjargal Dandarvaanchig, le miracle vocal de Mongolie. Son incroyable gamme vocale s′étend de la sous-basse la plus profonde à la plus haute soprano et il joue du violon mongol au plus haut niveau. Il a étudié au Conservatoire de musique d′Oulan-Bator. Alors qu′il était encore étudiant, il est apparu à la télévision mongole et a tourné avec divers ensembles d′État en Asie et en Europe, où il a rejoint l′ensemble du musicien du monde allemand Rüdiger Oppermann et a décidé de rester en Europe.

Pape Dieye vient de Dakar, la capitale du Sénégal. Il a Vécu 25 année à Paris et a étudié la Musique , il a joué avec des grands noms du jazz international comme Manu Dibango Etc.... En plus de la diversité des instruments de percussion africains, il maîtrise également la harpe africaine Ngoni et chante. Il vit et travaille comme musicien en Allemagne et au Sénégal. Il est lauréat du Prix Culturel ZMF Festival de Fribourg.

Franz Schüssele, tromboniste de la Forêt-Noire, soliste international de cor des Alpes, multi-instrumentiste et croiseur entre musique classique, jazz et folk joue un grand nombre d′instruments historiques tels que le leurre nordique, le carnyx celtique et le serpent. Avec son groupe "Gälfiäßler", il a fait de nombreuses apparitions à la télévision et est dans le livre Guinness des records comme le groupe avec le plus d′instruments.

En plus du programme de concerts, le trio présente également un programme avec un contenu interreligieux et spirituel dans les églises, par ex. B. Chants grégoriens, chants de prière africains et mongols et mise en scène personnelle de l′histoire de la création
Trio FraPapEpi - Sons archaïques & spirituels de trois continents – YouTube

Presse : Beaucoup de tradition et une pointe d′exotisme

Lors de la journée du cor des Alpes du salon national des jardins, des musiciens ont présenté le spectre de l′instrument. Le point culminant a été la performance du trio de musique du monde "Frapapepi"
Une formation spéciale, rarement entendue : les musiques du monde d′Afrique, d′Asie et d′Europe. Le groupe s′appelle "Frapapepi", dérivé des noms de leurs trois coéquipiers Franz Schüssele, Pape Dieye et Enkhjargal Dandarvaanchig, alias Epi. Les expériences d′écoute qu′ils transmettaient aux auditeurs n′ont jamais cessé d′étonner, car des mondes sonores étaient liés qui seraient autrement des continents à part : les rythmes du Sénégal caractérisés par des tambours et des percussions, les airs lancinants du violon à tête de cheval mongole et ceux du longs tons tirés du tube de résonance du cor des Alpes. Avec des pas, des sifflets et des applaudissements opulents, le public les a remerciés pour un concert réussi. Il y avait aussi deux rappels. (Badische Zeitung: Ulrike le Bras)

courage d′expérimenter

Des sons archaïques et modernes ont rempli mercredi le chœur de l′église d′Oppenau. Les bulldozers, les guimbardes et la corne de taureau celtique transportent des sons archaïques des millénaires passés. Les instruments de percussion et le serpent s′y mêlent, le trombone baroque, les cors d′escargot, les cloches de vache et le massif cor de méditation des monastères tibétains. Le cor des Alpes se transforme en didgeridoo.
Le Trio Frapapepi réunit des sons traditionnels et modernes d′Europe, d′Afrique et de Mongolie.Les concerts du trio vous invitent à un voyage de découverte, au cours duquel le public se frotte les yeux d′émerveillement à maintes reprises. Les sons de la nature prennent la place des harmonies bien tempérées des formats de divertissement courants. Frapapepi ne veut pas seulement divertir, les trois musiciens sont aussi soucieux du maintien de l′identité culturelle et de l′entrelacement de différentes influences.
Au cours de la soirée, le chant guttural résonne puissamment dans l′église, le violon à tête de cheval prend de la vitesse dans un galop sauvage, tandis que les cors naturels innovent. D′anciennes prières pastorales et invocations de l′époque celtique, du haut Moyen Âge, y font penser.
Le nouveau programme du trio surprend avec de nouveaux arrangements de chants grégoriens. Il plonge dans les récits bibliques, mais aussi dans la mythologie mongole et africaine. Il y a des moments où tout coule, où le trombone propose des thèmes qu′Enkhjargal Dandarvaanchig récite ensuite en chant diphonique. Le son étincelant de la kora se balance dans l′air, le cor des Alpes imite le didgeridoo australien. Les sons traditionnels commencent à groover.
Frapapepi montre quelles pistes un ensemble de musique du monde est capable de suivre, quelles intersections naturelles l′échange et le dialogue musicaux ont à offrir.
(Jürgen Haberer, journal Acher/Rench)

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